Casa Lina

Elle dispose d’une chambre double et d’une chambre avec deux lits où le placard d’époque présente de nombreux chapeaux de paille. La cuisine, fonctionnelle et accueillante conserve des élements propres aux maisons rurales de la Palma comme la caisse de pin qui sert à stocker les produits ou de coffre. Un coquet placard abritte la vaisselle. Le salon, simple, sans grande décoration est paisible et commode. A l’extérieur, un mur de pierres sèches limite le jardin silvestre. On peut s’y assoir pour profiter du paysage.

Zone d’habitat dispersé. Située dans une zone tranquille dans le quartier de el Granel. Cette maison propose une excellente vue sur la mer et la montagne. Au coeur de l’Atlantique, voici une maison d’architecture traditionnelle entourée de l’immensité bleu de la mer, de lumière.

Altitude:: 351m
Restaurant à...2800m
Centre commercial à... 2800m
Centro médico a... 4000m
Plage la plus proche...: 13000m
Port à... 10000m
Aéroport à... 20000m

La maison a seulement un étage distribué dans:

- une chambre double avec un lit double
- une chambre double avec 2 lits simples
- Cuisine-salle à manger:
* Réfrigérateur
* Cuisinière à gaz avec 4 feux
* Juicer
* Sandwich maker
* Grille-pain
* Micro-ondes
* Bouilloire électrique
* Blender
- salle de bain avec baignoire
- TV satellite
- WIFI
- chauffage général
- vue sur la mer et la montagne
- Piscine privée, dont les dimensions sont: 5.50m x 3m et sa profondeur est comprise entre 1,50m et 1.35m
- barbecue couvert

Les chroniqueurs indiquent déjà que le septième royaume de l'île avec le nom de Tenagua. La ville s'étend de la mer au sommet dans un triangle de terre fertile béni par les alizés qui transportent les nuages, alimentant l'aquifère important qui éclaire les eaux aux sources et aux sources que ses habitants affichent.

Entre le Barranco de La Galga et le Barranco Seco se trouvent les paiements de La Galga, El Granel, San Juan de Puntallana, Santa Lucía et Tenagua. Neuf montagnes exceptionnelles dans un paysage d'une valeur botanique reconnue; ses formations boisées de forêt de lauriers (redoute végétale de l'ère tertiaire) entourent la vie de ses habitants qui depuis des générations savent vivre des fruits que la terre leur fournit.

Les céréales étaient le produit agricole le plus cultivé; A travers ses ports et ses prois (nom donné à la pierre qui sert à amarrer les bateaux sur la terre), de nombreux lots de blé et de bois partent pour d'autres îles. Le développement économique de la municipalité a toujours fait l'objet de journaux de mauvaises récoltes et de famines, provoquant un flux de migrants vers Cuba et le Venezuela à la recherche de nouveaux horizons. Actuellement, les arbres fruitiers, les légumes, les vignes et surtout les bananes, répondent aux orientations fixées par les nouveaux marchés de production. Une autre alternative économique est l'offre modeste du tourisme rural, qui fait progressivement son chemin.